The Decline of Child Sexual Abuse in Canada: Evidence From the 2014 General Social Survey
Source:
Abstract
Objective:
To provide evidence of trends in child sexual abuse (CSA) in Canada.
Methods:
Using data from 15,801 males and 18,669 females who responded to the 2014 General Social Survey (GSS), we compared the prevalence of CSA by age cohorts. Age cohort patterns were examined for several sub-populations including males, females, Indigenous peoples, and people living in low-income households.
Results:
After an increase in the post-World War II period, there has been a decline in CSA in Canada since the early 1990s. Findings indicate a decline for both sexes; although, the evidence is more compelling for females. There is also evidence of a decline for Indigenous peoples, for those living in low-income households, and regardless of the relationship to the perpetrator (i.e., family member, a teacher/professor/tutor, a babysitter, a nanny, other non-family member but known to the respondent, or a stranger).
Conclusions:
In Canada, evidence from 3 retrospective population surveys suggests a decline in CSA since the early 1990s. However, given the associated harm, continued progress to the eradication of CSA is essential.
Objectif :
Fournir des données probantes sur les tendances de l’abus sexuel des enfants (ASE) au Canada.
Méthodes :
À l’aide des données des 15 801 hommes et des 18 669 femmes qui ont répondu à l’Enquête sociale générale (ESG) de 2014, nous avons comparé la prévalence de l’ASE par cohortes d’âge. Les modèles des cohortes d’âge ont été examinés pour plusieurs sous-populations, dont les hommes, les femmes, les peuples autochtones, et les personnes des ménages à faible revenu.
Résultats :
Après une hausse dans la période suivant la deuxième guerre mondiale, il y a eu un déclin de l’ASE au Canada depuis le début des années 1990. Les résultats ont indiqué un déclin pour les deux sexes, bien que les données probantes aient été plus convaincantes pour les femmes. De même, les données probantes d’un déclin ont aussi été observées pour les personnes autochtones, pour celles vivant en ménage à faible revenu, et sans tenir compte de la relation avec l’auteur de l’agression (c.-à-d., l’auteur était un membre de la famille, un enseignant / professeur / tuteur, une baby-sitter, une nounou, une personne sans lien avec la famille mais connue du répondant, ou un étranger).
Conclusions :
Au Canada, les données probantes de trois enquêtes rétrospectives dans la population suggèrent un déclin de l’ASE depuis le début des années 1990. Toutefois, étant donné les dommages qui y sont associés, le progrès continu de l’éradication de l’ASE est essentiel.
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