L’IGP constate une baisse de la criminalité de rue
KARACHI : Il y a une baisse visible de la criminalité de rue et des vols de véhicules dans la ville après que la police a commencé à action contre les trafiquants de drogue.
C’est ce qu’a déclaré l’inspecteur général de la police du Sindh, le Dr Kaleem Imam, lors d’une réunion présidée par le Secrétaire en chef Syed Mumtaz Ali Shah, ici mardi. La réunion, qui a eu lieu pour limiter la menace des drogues de la société et la nécessité de réhabiliter les jeunes impliqués dans la consommation de drogues, a également été informé que cette année seulement 3 931 cas ont été enregistrés contre les trafiquants de drogue dans la ville.
Le secrétaire en chef a déclaré que la police, la Force antidrogue et d’autres ministères concernés prenaient des mesures pour réduire la menace des drogues de la société. Il a ajouté qu’il y avait un besoin urgent de réhabiliter les jeunes toxicomanes et que le gouvernement du Sindh avait décidé d’accroître la capacité des centres de désintoxication en prouvant des fonds, des médicaments, des psychiatres et des médecins. Il a dit que le gouvernement provincial fournirait tous les établissements pour les centres de réadaptation afin de réhabiliter un plus grand nombre de toxicomanes.
Plus tôt, lors de la réunion, L’IG supplémentaire de Karachi Ghulam Nabi Memon a déclaré que 5 385 trafiquants de drogue, qui étaient également impliqués dans d’autres crimes de rue et vols de véhicules, avaient été arrêtés cette année. Il a ajouté que 40 kg d’héroïne, 4 1151 (g charas, 23 kg d’opium et 3 kg de glace de cristal avaient également été saisis auprès de ces suspects).
Il a également informé la réunion que les toxicomanes étaient impliqués dans des crimes de rue et que la police n’avait pas de centre de réadaptation important.
La réunion a également été informée qu’il y avait divers établissements de réadaptation à Karachi, mais qu’ils n’avaient pas la capacité de garder un tel nombre de toxicomanes dans leurs installations.
Le secrétaire en chef a ordonné au ministère de l’Intérieur de déclarer les centres de réadaptation comme centres correctionnels s’il y avait une disposition de la loi et que les mêmes prisonniers seraient envoyés dans les centres correctionnels après l’approbation du tribunal.-Reporter d’état-major