Tendances de la consommation d’alcool des jeunes qui ne sont pas dans l’éducation, l’emploi ou la formation : une étude qualitative
Les tendances récentes tant au Royaume-Uni que plus largement dans un contexte international suggèrent que la consommation d’alcool chez les mineurs diminue chez les jeunes. Cependant, on croit que certains groupes de jeunes ne suivent pas cette tendance.
Une étude récente a analysé les tendances en matière de consommation d’alcool chez les jeunes qui ne sont pas en éducation, en emploi ou en formation (NEET). L’objectif principal du projet était d’examiner l’expérience des jeunes NEET, de voir comment les caractéristiques de ce groupe ont changé et si cela se reflète dans leurs habitudes de consommation d’alcool.
Des entrevues ont été menées auprès de 16 jeunes (âgés de 15 à 19 ans).
Les thèmes qui ont émergé lors de l’analyse des entrevues étaient les mêmes :
Bon nombre des jeunes interrogés ont déclaré avoir bu peu ou pas d’alcool.
- Les jeunes ont réfléchi au comportement expérimental précoce de consommation d’alcool dont ils étaient maintenant « sortis ».
- Pour un petit nombre de boire n’était pas festive, mais plutôt un moyen de faire face à des expériences de vie stressantes
- Boire était lié à être invité à des événements sociaux et à la popularité
- L’exposition à l’ivresse et aux comportements à risque avaient tendance à se produire au début de l’adolescence. Là où les jeunes buvaient dans les parcs, il y avait maintenant plus de consommation d’alcool dans la rue.
- L’influence des médias sociaux pour encourager la consommation d’alcool a été considérée comme étant surtout sur les jeunes adolescents
- Des images d’ivresse et d’être hors de contrôle sur les médias sociaux ont été donnés comme des raisons de ne pas boire plutôt que d’être considéré comme encourageant la consommation d’alcool.
En résumé, bien que les jeunes décrits comme NEET boivent moins, des comportements nocifs à la suite de l’alcool se produisent toujours et à un âge plus jeune.
Le message général des jeunes qui boivent moins ne devrait pas nuire à la minorité de jeunes qui boivent comme une forme d’adaptation qui ont besoin d’un soutien ciblé.