Le nombre de personnes qui consomment régulièrement des substances psychoactives comme la cocaïne, les amphétamines, les méthamphétamines et d’autres psychostimulants est supérieur au nombre de personnes utilisant des opioïdes et des opiacés. On s’inquiète de plus en plus de l’utilisation à grande échelle de psychostimulants à des fins non médicales et de l’incidence élevée de troubles psychostimulants liés à l’utilisation (PSUD).

Bien que les modèles médicaux de traitement pour les personnes souffrant de troubles liés à l’alcool ou aux opioïdes soient bien acceptés et mis en œuvre dans le monde entier, il n’existe pas de modèle médical parallèle à long terme pour les personnes atteintes de troubles liés à l’utilisation de stimulants.

L’ONUDC a mis sur pied un document de travail qui vise à sensibiliser le public aux dernières données scientifiques concernant le traitement des troubles de l’utilisation des psychostimulants.

Le document donne un aperçu de l’arrière-plan et des types de substances psychostimulantes. Il examine l’épidémiologie de l’utilisation psychostimulante, les conséquences et le traitement.