Un groupe de chercheurs de tout le pays financé par la NIDA a identifié les domaines de recherche nécessaires liés aux épidémies imbriquées du VIH, au COVID-19 et à l’utilisation croissante de méthamphétamine aux États-Unis chez les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes. Les auteurs suggèrent que la consommation de méthamphétamine et le VIH présentent un risque composé de contracter le nouveau coronavirus (SRAS-CoV-2), contribuant ainsi à alimenter la pandémie actuelle de COVID-19.